20 mars 1921

Les affrontements entre le gouvernement chinois de Kashgar, et les troupes russes d'Annenkov, se poursuivent et s'intensifient.  Les rumeurs d'une attaque en force s'accroissent, et la mobilisation par les Chinois d'armes lourds et de chars en direction vers le nord-est tend à les confirmer.

L'occasion s'est présentée pour les Russes, pauvre en équipement lourd, de s'emparer d'un char FT-17.

Le char est tombé en panne à proximité d'un petit village ouïghour :

L'infanterie chinoise a cherché à attaquer la position russe de front et de revers, poussant à travers les zones boisées.  Deux tirs de mortiers lourds russes (générés par les événements aléatoires) ont fait plus de pertes amies qu'ennemies, et ont failli tuer le commandant des forces blanches.

La cavalerie chinoise, avec le mécanicien du char sur la croupe d'un des chevaux, a tenté une charge désespérée contre la cavalerie tibétaine.   Elle a été fauchée par l'infanterie russe en embuscade dans la maison.

Après s'être débarrassé, à l'aide des mercenaires tibétains, d'un peloton d'infanterie chinoise qui tentait de forcer sa position, ces russes ont quitté leur position pour secourir le centre, pressé par l'assaut ennemi.

La cavalerie tibétaine a tenté de ralentir l'offensif.

Ralliés autour du capitaine de la force chinoise ad hoc, les bandits ont chargé l'ennemi.  Leur acharnement a donné au pilote du char l'occasion de se faufiler dans la machine et redémarrer le moteur.

C'est donc une victoire chinoise (et une victoire donc pour ma fille Zoé) au 7ème tour.  Les Russes ont laissé une quinzaine d'hommes au sol, leurs assaillants environ le double.  C'était le prix à payer pour récupérer le précieux véhicule.